UNE LETTRE À MA MÈRE
Dans ce texte constitué de dialogues en monologues, ou de monologues traités sous forme de dialogues, l’auteur se lance dans un jeu littéraire en genres liés qui se prêtent à toutes sortes d’adaptations scénique et cinématographique.
La narratrice se prénomme Carmelle, le prénom de l’auteur, ce qui confère à l'intrigue l'aspect d'un bilan, à mi chemin entre la biographie et une analyse.
A coup d'épisodes dynamisés qui s’entrelacent pour rappeler, reproduire, rapporter, dépeindre, révéler le rapport mère-fille, le récit se déroule entre ce duo locutrice et interlocutrice qui se font face à travers l’écran d’un ordinateur et d'une caméra.
Pourtant, ce dialogue par procuration n'a rien de banal qui se tisse via Internet. Figuratif, il se développe alors que la mère est décédée depuis déjà dix ans…
Car « La mort ne tue que ceux-là, qui meurent d’abord dans les mémoires », UNE LETTRE À MA MÈRE est une création qui abat les frontières entre les genres, dans le déroulement même du temps; entre la vie et la mort. La lettre célèbre la victoire de la vie sur la mort, celle de l’espoir sur le désarroi, mieux, celle de l’amour sur la haine et l’indifférence. C’est une œuvre de mémoire. Bref, l’une de ces Histoires faites d’histoires diverses.
Edition L'Harmattan (Collection Lettres des Caraïbes) Mai 2014 ISBN : 978-2-343-01990
Nombre de pages : 400
Prix : $45.00
À découvrir, en accédant à :
http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=43259
Dans ce texte constitué de dialogues en monologues, ou de monologues traités sous forme de dialogues, l’auteur se lance dans un jeu littéraire en genres liés qui se prêtent à toutes sortes d’adaptations scénique et cinématographique.
La narratrice se prénomme Carmelle, le prénom de l’auteur, ce qui confère à l'intrigue l'aspect d'un bilan, à mi chemin entre la biographie et une analyse.
A coup d'épisodes dynamisés qui s’entrelacent pour rappeler, reproduire, rapporter, dépeindre, révéler le rapport mère-fille, le récit se déroule entre ce duo locutrice et interlocutrice qui se font face à travers l’écran d’un ordinateur et d'une caméra.
Pourtant, ce dialogue par procuration n'a rien de banal qui se tisse via Internet. Figuratif, il se développe alors que la mère est décédée depuis déjà dix ans…
Car « La mort ne tue que ceux-là, qui meurent d’abord dans les mémoires », UNE LETTRE À MA MÈRE est une création qui abat les frontières entre les genres, dans le déroulement même du temps; entre la vie et la mort. La lettre célèbre la victoire de la vie sur la mort, celle de l’espoir sur le désarroi, mieux, celle de l’amour sur la haine et l’indifférence. C’est une œuvre de mémoire. Bref, l’une de ces Histoires faites d’histoires diverses.
Edition L'Harmattan (Collection Lettres des Caraïbes) Mai 2014 ISBN : 978-2-343-01990
Nombre de pages : 400
Prix : $45.00
À découvrir, en accédant à :
http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=43259
Capharnaüm I
SANS FARD, NI RIMMEL
Deux sœurs, Lissa et Geneviève, à la fois liées et marquées par l’assassinat de leurs deux parents, grandissent et évoluent dans l’harmonie et la complicité d’une affection partagée. Foncièrement opposées en nature et en peinture, comme cela se constate souvent dans les familles, elles cheminent dans la vie en se découvrant réciproquement à travers leurs qualités et leurs faiblesses personnelles. Lissa et Geneviève vivent des vies parallèles qui ne se ressemblent pas mais se rencontrent à des carrefours inattendus, où se précisent leurs choix en fonction de leurs intérêts, sous l’impulsion soit de faiblesses imputables à l’une soit de la force de caractère reconnue à l’autre. Toute l’intrigue saute de rebondissements en surprises, en rotation autour de l’axe central apparent personnifié par Raymond.
Tout ce que charrie l’intrigue, comme il en est des circonstances de la vie, ne représente en fait que des prétextes pour que se réalise leur imprévisible destinée.Sans fard ni rimmel scrute, fouille, creuse dans les fonds, pour dévoiler la face secrète de l’âme humaine, inscrite dans un jeu littéraire coquin à quatre mains d’histoires en abyme, et d’un emboîtement inattendu de séquences de vies réelles en translation dans la fiction de la dernière création de Lissa.
Edition Rhum Barbancourt
Nombre de pages: 254
Prix: US $20.00
Contact:[email protected]
SANS FARD, NI RIMMEL
Deux sœurs, Lissa et Geneviève, à la fois liées et marquées par l’assassinat de leurs deux parents, grandissent et évoluent dans l’harmonie et la complicité d’une affection partagée. Foncièrement opposées en nature et en peinture, comme cela se constate souvent dans les familles, elles cheminent dans la vie en se découvrant réciproquement à travers leurs qualités et leurs faiblesses personnelles. Lissa et Geneviève vivent des vies parallèles qui ne se ressemblent pas mais se rencontrent à des carrefours inattendus, où se précisent leurs choix en fonction de leurs intérêts, sous l’impulsion soit de faiblesses imputables à l’une soit de la force de caractère reconnue à l’autre. Toute l’intrigue saute de rebondissements en surprises, en rotation autour de l’axe central apparent personnifié par Raymond.
Tout ce que charrie l’intrigue, comme il en est des circonstances de la vie, ne représente en fait que des prétextes pour que se réalise leur imprévisible destinée.Sans fard ni rimmel scrute, fouille, creuse dans les fonds, pour dévoiler la face secrète de l’âme humaine, inscrite dans un jeu littéraire coquin à quatre mains d’histoires en abyme, et d’un emboîtement inattendu de séquences de vies réelles en translation dans la fiction de la dernière création de Lissa.
Edition Rhum Barbancourt
Nombre de pages: 254
Prix: US $20.00
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Capharnaüm II
DIALOGUE À LA PREMIÈRE PERSONNE
Dialogue à la première personne suit Sans fard, ni rimmel qui lui fournit le prétexte à sa création. Ce deuxième roman du coffret Capharnaüm, transgresse_ encore davantage que le premier_ le cadre habituel du roman. Il représente non seulement une histoire d’histoires en progression, dans le sens de Sans fard, ni rimmel, mais encore il offre en partage avec le lecteur, la démarche de création de l’écrivain, tout en faisant de Raymond, l’auteur, l’héritier du talent de Lissa.
Dialogue à la première personne se déroule autour : de son éditrice, d’une lectrice, Béatrice, de Raymond et de son roman. Ce dialogue s’effectue entre Béatrice et le roman ; pour ainsi dire entre elle et elle-même, en cheminant dans l’intrigue du roman de Raymond. Tout se cuisine, se concocte au fond d’elle-même, pour créer dans la réalité les événements qu’elle provoque pour son bonheur ou son malheur. Quand L’éditrice, Béatrice et Raymond se rencontreront, tous trois, les masques sont déjà tombés, hormis ce dernier qui fait corps avec l’humaine nature dans toute sa nudité voilée d’artifices, de pistes inaccessibles, et pourquoi pas de beautés ignorées.
Edition Rhum Barbancourt
Nombre de pages : 276
Prix: US $20.00
Contact: [email protected]
RAS LES BORNES Un anniversaire, une célébration peu ordinaire qui convie le passé et le futur, celui de la Belle Hispaniola, de Saint-Domingue et de la toute jeune République d'Haïti. Pièce à quatre personnages, Ras les Bornes joue littéralement avec les limites de l'histoire, celle de l'intrigue autant que celle de la destinée humaine. Au fil des scènes, à moins qu'il ne s'agisse de tableaux prémonitoires, on assiste à la discussion houleuse entre le Général Rochambeau et les deux soeurs de sang, Haïti et Saint-Domingue. Et comme si la fête ne pouvait pas se dérouler dans les conditions idéales, St. Gérard-Lopez ajoute la visite impromptue d'un fantôme. Ecrite au départ pour les commémorations de 1804, Ras les Bornes transcende les codes de l'hommage pour nous offrir des personnages hauts en couleurs, en verve et en vie. Une énergie que l'on a plaisir à voir se prolonger dans le poème Oh qui conclue le volume. Editions Feuilles au Vent Nombre de pages : 80. Prix: $25.00 (Edition bilingue anglais/français) Commande via email: [email protected] |